La solution et méthode pour détecter le responsable alimentaire de ses migraines.

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SOMMAIRE

Les migraines, les maux de ventre et moi

Jusque là, tout va bien

Mon corps ne suit plus le rythme

Remonter la pente

La rencontre qui a changé ma vie

Enfin un diagnostic médical !

La révélation finale

Ce que j’ai tiré de mon expérience

Les bénéfices de mon changement d’habitudes alimentaires

Une nouvelle appréhension des problèmes de santé

Un formidable gain d’énergie et d’espérance de vie

Une vaste prise de conscience au sujet des industries agro-alimentaire et pharmaceutique

Conclusion

Bonus 1

Bonus 2

Bonus 3

Extrait du livre : numéro 1

Les migraines, les maux de ventre et moi

Jusque là, tout va bien

J’étais un petit garçon plein d’énergie. Et même débordant d’énergie, en réalité ! Je m’imaginais plus fort que mon père et je me voyais lui décocher de terribles fulguropoings, comme le faisait mon héros Goldorak. Je pensais que ma force de petit garçon de 4 ans pourrait triompher de mon père. Heureusement pour nous deux, j’ai dû me résigner à admettre que mon géniteur était bien plus fort que moi.

Face à cette énergie d’enfant que ni moi ni mes parents ne parvenions à canaliser, on fit l’excellent choix de m’inscrire au judo. C’est d’ailleurs ainsi que, à partir du CP, il n’y eut plus aucun problème de bagarre à l’école. J’avais désormais suffisamment de temps et d’espace pour me dépenser les mercredis et samedis après-midi.

Mais passons rapidement sur les détails de ma scolarité : les choses se déroulèrent plutôt bien dans l’ensemble. J’étais un élève moyen, assez peu doué en orthographe et plutôt penché vers les mathématiques et les sciences.

Côté sport, je touche au foot, puis au tennis, mais c’est toujours vers le judo que reviennent mes affinités. Les compétitions débutèrent en 6e, et malgré des débuts difficiles – je connus notamment la douloureuse expérience de perdre tous mes combats lors de mon premier championnat du Puy de Dôme –, je commençais à me faire plaisir et à progresser. Au fil de mes années de collège, je ne suis pas peu fier d’avoir gagné en assurance, en même temps que plusieurs titres de champion de région, allant même jusqu’à devenir vice-champion inter-régions dans la catégorie minime.

Un souvenir marquant de cette époque me revoit jouant avec mon père dans le salon. Nous nous amusions à faire du judo, quand je le fis soudainement tomber sur le dos en parvenant à placer un ippon. À compter de ce jour, mon père a décrété que j’étais devenu plus fort que lui et qu’il ne ferait plus de judo contre moi. Ce qui est compréhensible… Même si je n’ai alors pas le droit de porter ma ceinture en compétition, à 15 ans, je suis ceinture noire. Et je ressens la fierté du fils devenu plus fort que son père, avec tout ce que cela implique de responsabilité morale et émotionnelle.

Arrivé au lycée, je choisis de suivre un cursus scientifique. Pas vraiment sérieux, je redouble ma terminale S, trop occupé que je suis à faire la fête avec mes copains plutôt qu’à plancher sur mon bac. De toute façon, mes camarades ayant redoublé eux aussi, j’ai probablement fait un peu exprès de les attendre en chemin ! À l’époque, mon projet est de devenir professeur d’EPS ou de judo. Mais c’est mon professeur de judo lui-même qui m’oriente dans ma voie en me faisant cette réflexion :

« Séb, je te verrais bien kiné et ostéopathe ! Je trouve que tu as une bonne main, un bon touché… »

C’était décidé. J’écouterai mon maître ! Je me lance donc dans l’aventure …..

Extrait du livre : numéro 2

Et cela fonctionne ! Pendant environ 2 mois, je ne souffre plus d’aucune migraine.

Mais comme vous pouvez vous en douter, le Coca-Cola en quantité n’arrange pas mes problèmes de poids. Sans compter qu’à cette époque de ma vie, je suis bien trop pris par ma vie personnelle et professionnelle pour faire du sport… Je pèse alors à nouveau près de 100 kg. Et malheureusement, les crises de migraine et les douleurs au ventre réapparaissent progressivement malgré ma forte consommation de caféine. Mon corps s’est très certainement habitué à ce nouveau traitement.

Lorsque je consulte mon médecin généraliste, il me dit que je travaille probablement trop. Je dois me reposer. Tous ces symptômes sont autant de signaux que m’envoie mon corps pour me forcer à lever le pied. Le stress, le manque de sommeil… Je me souviens alors que, enfant, déjà, le médecin de famille diagnostiquait que mes diarrhées étaient liées au stress. Pourtant, si je vis certes à cent à l’heure, je ne me suis jamais considéré comme quelqu’un de stressé. Mais soit ! Cela ne peut pas me faire de mal. Je décide de lever le pied et de moins travailler pour rentrer plus tôt chez moi le soir.

Si mes migraines reculent encore une fois, elles continuent tout de même de m’imposer leur rythme et de me pourrir la vie. Je ne parviens pas à rattraper le sommeil que mes maux de tête me font perdre au fur et à mesure que les jours passent. Là où je pensais pouvoir gagner en qualité de vie et profiter du temps que je ne passe pas au travail, je me sens au contraire de plus en plus malade. Au fond de moi-même, le doute s’installe : Je développe un cancer. Je vais mourir.

Je suis au plus bas de ma forme et mon corps me fait définitivement obstacle. Le sportif, le judoka, le guerrier qui ne craignait rien a tout bonnement disparu.

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